BIOCLUSTER : En route pour un Biocluster d’envergure mondiale à Lille centré sur les maladies chroniques et au plus près des patients
La candidature collective « Eurasanté 2030 » a été déposée avec succès jeudi 16 février à la seconde vague de l’AMI Biocluster du Plan France Innovation 2030, portée par 13 fondateurs : CHU Lille, Université de Lille, Clubster NSL, Centrale Lille, INSERM, Macopharma, Imabiotech, Mutuelle GSMC, Lesaffre, Roquette, Dedalus, Santélys et Eurasanté, une candidature collégiale à la seconde vague de l’Appel à Manifestation d’Intérêt « BIOCLUSTER » du Plan Innovation Santé 2030.
L’enjeu ? La reconnaissance internationale du 3ème pôle d’excellence santé de France situé à Lille, dans les Hauts-de-France. Plus que jamais l’écosystème lillois croit en la future réussite de son projet « Eurasanté 2030 » rassemblant l’ensemble des forces des champs de l’industrie, du soin, de la recherche et de la formation réunis autour d’un lieu unique permettant d’impulser un Biocluster centré sur la prévention et la prise en charge des maladies chroniques (MC). Renforçant sa candidature depuis le dépôt en vague 1, le projet lillois a rassemblé plus de 120 partenaires au projet et a collecté plus de 150 millions d’Euros d’apports privés, soit le double du montant des contributions privées affichées par le projet de Paris Saclay Cancer Cluster, unique lauréat de la 1ère vague.
Eurasanté 2030 en bref
Les 13 fondateurs du projet « Eurasanté 2030 » (ES 2030) précédemment cités ont fédéré à leurs côtés 14 partenaires privilégiés apportant leur contribution à la bonne réalisation du projet : Région Hauts-de-France, Métropole Européenne de Lille, Ville de Lille, Université de Technologie de Compiègne, CNRS, Institut Pasteur de Lille, Centre Oscar Lambret, IRCL, INRIA, Finorpa, Novo Nordisk, Cousin Surgery, Ingredia et Diagast.
C’est donc un cercle de fondateurs-partenaires renforcés comptant 27 structures qui portent aujourd’hui ce dossier en vague 2 (contre 19 en vague 1). Ils se sont entourés de plus de 90 soutiens, parmi lesquels les entreprises Genfit, Bayer, Comarch, Horiba, Medtronic, Nestlé health science, Véolia, l’ARS Hauts-de-France, le GCS G4 ou encore hors de nos frontières l’Université du Kent et l’hôpital universitaire de Gand. Particularité de la candidature lilloise : l’union d’acteurs industriels de tous profils issus de tous les pans des industries de santé et nutrition et de toutes tailles, ralliant des start-ups, des TPE-PME mais aussi de grands groupes internationaux.
L’ambition d’ES2030 est de transformer la trajectoire des soins et la qualité de vie des patients atteints de maladies chroniques. Au-delà des enjeux médicaux, il s’agit également de répondre aux enjeux socioéconomiques en apportant l’excellence de la recherche médicale et l’accès à des solutions et équipements d’excellence favorisant la création de nouveaux concepts et leur maturation technologique, clinique et réglementaire jusqu’à leur mise sur le marché en faisant bénéficier de ces innovations en premier lieu les
patients du territoire.